La morale et l'algorithme : les transactions à hautes fréquences sont-elles contrôlables ?
Pour conclure...
En bref , au cours de ce sujet nous avons vu que l'automatisation des ordinateur , le perfectionnement des logiciel afin qu'ils aillent plus vite ont donc entraîné une demande plus importante car la réception des ordres de vente et d'achat est beaucoup plus importante suite aux remplacement des traders humains par des machines car un humain ne peut traiter des demandes de l'ordre de la microseconde. La modernisation a favorisé la vitesse, et l'efficacité des marchés financiers. Néanmoins il y a des limites à cette automatisation comme la stabilité sur les marchés dû à une crise qui ne cesse d'accroître et la manipulation des marchés. Des difficultés sont aussi observables au niveau du contrôle des algorithmes, exemple des flashs krach. Mais comme à chaque problème sa solution, de nouvelles stratégies sont envisagées, d'une première part une régulation de ces transactions à hautes fréquences est envisageable voire même une interdiction dans certains pays .
Si le débat n'est pas tranché, la question d'une meilleure régulation du phénomène s'est néanmoins imposée avec la multiplication des "incidents" dus à l'emballement des algorithmes , pour différentes raisons . Nous pouvons allons affirmer que les transactions à hautes fréquences certes sont contrôlables mais cela dépend à quel point de vue c'est-à-dire si le contrôle des transactions à haute fréquence repose sur le fait qu'elles sont infaillibles ou non . Sur ce point les transactions hautes fréquences ne sont pas tellement contrôlable car un algorithme peut s'emballer si la demande est trop importante .Ces transactions sont dites contrôlables en fonction de critères différents . Certains y voient des avis positif comme le THF qui est quelque chose d'utile car il augmentera la liquidité , la multiplication des ordres passés mais aussi d'assurer la plus grande liquidité sur l'ensemble des types d'actifs, ce qui est fondamental pour le bon fonctionnement d'un marché . Mais aussi la baisse entre l'écart de l'offre du prix acheteur et prix vendeur aussi appelé « spread » ….