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Nombreuses sont les personnes qui ont tenté de s’enrichir sur le dos des autres, en manipulant, en escroquant. Nous pouvons nommer par exemple Thérèse Humbert, cette femme aux origines paysannes qui se marie avec le fils d’un ministre de la troisième république. Celle-ci va pendant 20 ans emprunter de l’argent sous la garantie d’un faux héritage de 100 millions de francs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
De plus, nous pouvons faire référence à Marthe Hanau ou « la banquière des années folles ». Son escroquerie reposait sur un journal financier qu’elle a créé dans lequel les journalistes recommandaient l’achat de titre qu’elle avait-elle acheté auparavant.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bien plus tard, le 24 janvier 2008, la Société Générale annonce qu'elle a été victime d'une fraude sans précédent initiée par un de ses traders.  Il s'agit de Jérôme Kerviel, un salarié de la banque depuis huit ans, il a pris dans les quinze premiers jours de l'année, selon la banque, près de 50 milliards d'euros de positions sur les indices européens en pariant sur une hausse des marchés.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 On peut également parler de l'affaireStanford.
Le milliardaire Allen Stanford a plaidé non-coupable d'une escroquerie portant sur 8 milliards de dollars (dont 1,6 milliard pour son bénéfice personnel), de blanchiment d'argent et d'obstruction à la justice. L'escroquerie a commencé en septembre 1999 et a touché plus de 30.000 personnes, en majorité des investisseurs américains. L'homme d'affaires risque jusqu'à 250 ans de prison. Anobli à Antigua, le Texan pointe 405e au classement Forbes des personnes les plus riches du monde.
 
 
 
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